« J’ai fait tout ça par amour ! »
May fait commerce de ses charmes. Ni marcheuse de Belleville, ni michetonneuse de Pigalle, elle reçoit à domicile. Début mars, elle décide de partager les frais et l’espace de son nouvel appartement du 14e arrondissement avec madame K., prostituée elle aussi, version tonitruante. Après trois petites semaines, « parce qu’…